Robert a travaillé d’arrachepied durant de nombreuses années pour bâtir son entreprise. Son ébénisterie a longtemps été un fleuron de sa région.Les dernières années ont cependant été difficiles. Les commandes ont diminué en raison du climat économique difficile de la région et l’entreprise a perdu beaucoup d’argent en raison de plusieurs mauvaises créances.
Malgré tous les efforts de restructuration qui ont été mis en place, Robert a dû se rendre à l’évidence, une fermeture était inévitable.Robert a donc donné un préavis de licenciement à ses employés et annoncé la fermeture à ses clients.
Quand le banquier de l’ébénisterie a appris la nouvelle, un climat de tension s’est immédiatement installé. Un expert mandaté par la banque a fait, aux frais de l’entreprise, un rapport très pessimiste de la situation et a évalué les actifs à un montant bien en deçà du montant des dettes.
La stratégie proposée par la banque de Robert :
Mise en faillite de l’entreprise;
Perception des comptes clients par un mandataire;
Liquidation des actifs par demande de soumissions;
Récupération de sa perte en réclamant la somme à Robert en raison de ses endossements.
Heureusement, Robert a entendu parler de BRESSE et nous a consultés.
Après discussion avec son conseiller, Robert a décidé de déposer un avis d’intention de faire une proposition à ses créanciers.
Le conseiller de Bresse a réussi à gagner la confiance du banquier en lui présentant un plan de liquidation ordonnée par une proposition concordataire.
L’ébénisterie a par la suite déposé une proposition concordataire prévoyant :
La liquidation de l’ensemble des actifs par l’entreprise sur une période raisonnable, ce qui a permis d’obtenir de meilleurs prix;
La perception des comptes recevables par Robert afin de maximiser la somme à être réalisée;
Le paiement de 100 % des dettes garanties de la banque, endossées par Robert;
Le paiement de 30 % des créances non garanties avec le surplus obtenu par la vente des actifs;
Les créanciers de l’ébénisterie de Robert ont accepté la proposition.
Après six mois d’efforts, les actifs ont été vendus à un prix suffisamment élevé pour permettre le paiement de la totalité de la créance garantie de la banque et le versement du 30 % promis aux créanciers non garantis de l’entreprise.
Robert n’a pas eu à verser d’argent en raison de ses endossements à la banque puisque cette dernière a été entièrement payée;
Une fois les termes de la proposition respectés, l’entreprise a généré un surplus de près de 100 000 $ que Robert a pu utiliser pour son prochain projet.
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